Jeanne Spagnolo s’est saisie de l’art de peindre avec intensité
et toute l’empreinte cachée révélable de l’Être au Monde.
Après de nombreuses expositions dans la région, le temps et l’expérience nourrissant, Jeanne donne un nouveau souffle à sa démarche et décide d’exposer au centre culturel Librilla à Murcia en Andalousie en 1997 ainsi qu’au Bleeckeer Street-Art à Anvers, Belgique, en 1998.
Puis au-delà de la Méditerranée, à Bamako en 2000 où elle réside et travaille en partageant des moments d’exception avec des artistes Maliens “Bamako a creusé encore plus cette rivière qui est mon chemin, retrouvant tant de valeurs auxquelles je suis attachée depuis toujours .
Alors la Matrice, la fécondité et toujours les Terres de la Terre;
alors des évènements des êtres qui « trans-forment »: l’Afrique et puis Sarkis, Kounellis… Rembrand, Delacroix, Monticelli, Titus Carmel, Tal Coat, Kacimi, …enfin l’antiquité, les primitifs Italiens, la Matière… sont ses maitres toujours des maitres…
entre Maitre et Maternité !
La vie toujours lorsque de longues interruptions peuvent aussi bien meurtrir que faire se repositionner un travail. Peindre photographier, sculpter, installer, autant de formes d’une même expression quand l’intemporel habite cet art de prendre, cet art de révéler, de montrer avec une acuité à fleur de peau, avec la fébrilité et la force d’un regard opérant.
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